Philippe Lavil VS Mercedes CLA Pack AMG !

Son essai et l'interview avant le 1er concert à l'Arobase du Casino Batelière-Plazza...

Le 22 juin, Philippe Lavilnous fait le plaisir de réaliser un essai avec Grantomobil.fr ! Au programme : la Mercedes CLA 220 CDi 4 Matic Pack AMG sur les routes martiniquaises... Juste un vrai plaisir à venir... Mais avant l'essai avec Philippe revenons sur son dernier album : La part des Anges.(Philippe Lavil) Quatre ans après la sortie du chaloupant Calypso,Philippe Lavil nous revient avec « La part des Anges ».
Un album enregistré sous la houlette de Marc Di Domenico (créateur du label Palass), qui a notamment produit « Chambre avec vue » d’Henri Salvador, le spectacle « Le Temps des Gitans » ou les premiers opus de Micky Green et BB Brunes. Il sera en concert en Martinique à l'Arobase du Casino Batelière-Plazza les 23 et 24 juin dès 20h pour le plus grand plaisir des martiniquaises et martiniquais...
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On y découvre la présence inattendue de Camille Bazbaz à la réalisation et de Jérôme Perez ! « L’alliance de la carpe et du lapin », s’amuse Lavil. De fait, entre le dandy-crooner et l’iconoclaste issu de la planète punk-rock-reggae, l’entente a été immédiate. Ces deux là se sont indiscutablement trouvés. « J’étais curieux de serrer la main de quelqu’un qui avait vendu tant d’albums. J’ai écouté les chansons, juste le temps de décrypter les accords, pour conserver une certaine fraîcheur » confie Bazbaz pour qui cet exercice est une première. Dans la foulée, il signe également la musique du divertissant « Mercurochrome ». « J’aime l’univers de Philippe renchérit-il. Je trouve que la chanson « La fille du train » est d’un cynisme torride. Nous les humains, pratiquons assez peu cette autodérision. C’est la force de Philippe et c’est pour ça qu’il est devenu mon pote.
Il ne tire pas de plan sur la comète ! »
En parlant de comète, revenons aux anges…
Pour la petite histoire, le titre de ce nouvel opus fait référence au volume d’alcool qui s’évapore quand on le met en fût. L’épicurien Philippe Lavil (descendant du fondateur d’une fameuse rhumerie antillaise) n’a pu résister à la tentation de s’emparer de cette expression pour l’adapter à d’autres plaisirs délétères comme les premières bouffées d’un bon cigare, la nostalgie des histoires d’amour qui partent en fumée ou encore le poids de l’âme qui rejoint des cieux qu’on espère plus cléments. «Je me suis beaucoup amusé à imaginer d’autres situations » explique-t-il.
On oublie d’ailleurs trop souvent que, même s’il a longtemps travaillé avec Didier Barlevien, Elisabeth Anaïs, Gérard Manset, David Mc Neil, Philippe Chatel ou Sam Brewski (alias Jean-Jacques Goldman), le chanteur est aussi un auteur et un compositeur à part entière.
Dans l’album, on retrouve quelques morceaux connus réorchestrés pour l’occasion dont le désormais classique Fort-de-France. Une chanson qu’il balade depuis toujours, comme un porte-bonheur. Le nouveau décor planté par Camille Bazbaz lui redonne une seconde jeunesse même si cette suave déclaration d’amour à son île n’a pas vraiment pris de ride. A l’image d’ailleurs de Lavil qui a débarqué dans la métropole en 1960 ! Dans ses bagages, il a emporté les odeurs, les couleurs et les mélodies ensoleillées qui ont bercé son enfance antillaise. Il a 13 ans et découvre alors ces nouveaux rythmes anglo-saxons qui captivent les adolescents de son âge. Dans son pensionnat du sud de la France, son professeur d’anglais s’appelle Graeme Allwright et plus tard son école de commerce voisinera avec la maison de disques Barclay…
On peut y voir le fruit du hasard mais, entre deux cours, il enregistre en « A la califourchon », son premier 45 tours. Il enchaînera ensuite les succès avec des titres comme Elle préfère l’amour en mer, Kolé Séré (en duo avec Jocelyne Béroard), Hey Mister Lee, Rio, San Miguel… sans oublier le fameux Avec les filles je ne sais pas.
Avec l’étiquette de séducteur que l’on se plaît à lui coller encore, on imagine qu’il a résolu l’énigme depuis belle lurette! Ce qui est sûr c’est qu’il a su habilement négocier entre les modes et les courants musicaux. En pleine vague punk-rock et electro pop, il sort en effet « Il Tape sur des bambous », un titre écrit par Didier Barbelivien et Michel Héron, qui deviendra le tube de l’été 1982 (1,5 million d’exemplaires vendus).
On se souvient également du succès de « Elle tricote des pulls pour « Lavil déménage » il revisite ses anciens hits en versions acoustiques avant de sortir deux nouveaux disques : Ailleurs, c’est toujours l’idéal et Retour à la case créole.personne » et des morceaux dont il a signé les musiques pour l’album « Nonchalances ». La Mercedes CLA 220 CDi 4 Maticqui sera essayée le 22 juin parPhilippe Lavil

Octobre rose 2024 avec la ligue !

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