Découverte de l’intérieur de plus près sur ce DS7 Crossback 2018. Un SUV à la française où le constructeur Made In France propose une autre idée de ce que l’on peut attendre du premium.
Avec une réalisation parfaite, mêlant cuir, (Celui utilisé par Rolls-Royce...), et matériaux nobles, la qualité de finition et les assemblages sont de très bonnes factures. L’horloge signée BRM montre encore une fois que DS marque toute l’attention portée à ses occupants. Sièges arrières électriques, sièges en cuir pleine fleur type Bracelet, surpiqûres perlées, les références aux codes du luxe ne manquent pas.
A noter que les feux LED Vision de la DS7 ressemblent en (mieux) aux feux de la Bugatti Chiron.
Départ de chez Sodiva avec Anthony Bargoin conseiller de vente DS...
Le SUV Premium made in France a de nombreux atouts pour se comparer à un Audi Q5, au nouveau BMW X3, Au Mercedes GLC ou encore au nouveau Volvo XC60 avec une proposition différente du premium à la Française. Le DS7 Crossback marque ainsi les esprits en mettant la barre haute avec un habitacle très distinctif...
À l’heure où le SUV voit sa cote grimper en flèche, DS se devait, ne serait-ce que pour redresser une barque secouée, d’inscrire ce type de véhicule à son catalogue. Chose mûrie depuis longtemps puisque la DS 7 Crossback, après avoir été présentée au Salon de Genève 2017, servait de voiture d’apparat et de véhicule présidentiel à Emmanuel Macron, lors de son investiture le 14 mai dernier. Un sacré coup de pub il est vrai, mais surtout, la démonstration que la marque française entend mettre tout en oeuvre pour conquérir ses lettres de noblesse, et obtenir, surtout, un autre cota de parts de marché.
Née le 1er juin 2014, DS Automobiles s’est assigné comme tâche de redorer le blason de l’automobile française au sein du segment premium. Cela en jouant les cartes de l’audace et de la technologie. Mais ce que désire DS avant tout, c’est d’incarner le luxe à la française. Pour ce faire, son approche se veut bien différente des hauts de gamme d’outre-Rhin, puisque le confort de l’utilisateur et de ses passagers, ainsi que le raffinement dans le choix des matériaux utilisés constituent les atouts majeurs de celle qui, aujourd’hui, s’impose comme étant le premier modèle de ‘la’ nouvelle génération. Selon ses responsables, DS 7 Crossback doit devenir le véritable tremplin de la marque. Sa rampe de lancement. Il faut bien reconnaître que jusqu’ici, avec trois produits vieillissants au sein desquels la DS 3 a été la seule à se frayer un chemin auprès du public, l’avenir de DS passait donc par la sortie d'un SUV Premium.
Prenons son design. Pas question qu’il s’inscrive dans la lignée très classique de celui de l’ensemble des SUV du moment. Et surtout pas dans celle de la concurrence allemande. Non ! On parlera ici d’un esprit avant-gardiste à personnalité forte, duquel se dégage un sentiment de puissance et de raffinement. Ainsi, des formes simples, sculptées et non dépourvues d’une certaine sensualité, donnent à la robe de ce modèle, un caractère inimitable. Ne serait-ce que par la manière dont sont traités tous les petits détails. Pour simple exemple, on épinglera le design des blocs optiques avant et arrière, avec, notamment, des phares LED avant aux modules pivotants. On pourrait aussi mettre en exergue de grandes roues, des voies larges ou encore ce long capot avant joliment nervuré.
Rencontre avec Anthony Bargoin conseiller DS :
Entrons dans l’habitacle. Ici, tout est fait pour le plaisir des yeux avec des matériaux de grande qualité, des finitions bois uniques, ainsi qu’une utilisation maximale de différents cuirs pour la sellerie, les garnitures de portières, l’imposante console centrale ou encore le volant multifonctions.
Examinons enfin la planche de bord et le graphisme futuriste de ses compteurs. C’est assurément novateur. Cela sans oublier le grand et large écran tactile surmonté d’une montre BRM R.180 rotative qui plus est, puisqu’elle pivote lors du démarrage du moteur. Un petit bijou de l’horlogerie française. Vous avez dit différente ?
Séparés par une vaste console intégrant moult boutons de commandes diverses, le conducteur et son passager avant voyageront tout à leur aise, et ce dans un confort comparable à celui d’un grand salon parisien. Il en ira de même pour les personnes assises à l’arrière qui, si elles regretteront peut-être une banquette non coulissante, malgré un bel espace aux jambes, pourront toutefois bénéficier de dossiers inclinables électriquement (15%). Un must lors d’un long voyage.
Côté rangements, ils sont légion. Côté coffre, la générosité reste aussi de mise.
On parlait du confort de route. À ce sujet, les responsables expliquaient que les mousses utilisées pour les sièges de la DS 7 Crossback étaient à haute densité, manière non seulement de filtrer au mieux les aspérités de la chaussée, mais aussi de ne pas s’affaisser au fil des kilomètres. De plus, certains modèles de cette DS 7 se voient équipés d’une fonction massage dorsal à intensité variable.
Autre aspect de ce confort de route, la qualité de l’insonorisation. On nous a expliqué qu’ici les isolants ont été placés au niveau du tablier (entre moteur et habitacle), dans les passages de roue, sous le capot, dans les panneaux de porte, dans le pavillon et au niveau des tapis de sol. « Un fait unique dans la catégorie », nous a-t-on certifié. Ce qui ne nous a pas empêchés, lors d’accélérations plus franches, d’entendre quelque peu, notre 180 BlueHDi. Autre innovation pour la catégorie, cette DS possède un amortissement piloté via une caméra située sur le pare-brise. Son but : scanner le relief de la chaussée jusqu’à 20 m à l’avant. De quoi passer en total confort le ralentisseur de vitesse le plus vicieux qu’il soit.
Bardée de technologies
Niveau technologies embarquées, c’est Byzance. Jugez plutôt et ce dès la version d’entrée de gamme : ABS, amplificateur de freinage d’urgence (y compris automatique) avec répartiteur électronique, ESP, aide au démarrage en pente, système de surveillance de la pression des pneus, alerte attention conducteur et de franchissement de ligne, régulateur-limiteur de vitesse, reconnaissance des panneaux de vitesse, freinage d’urgence automatique…
Au-delà, on parlera du DS ACTIVE LED VISION. À savoir quand les feux, selon cinq modes qui s’enclenchent automatiquement, produisent un pinceau lumineux adaptatif qui se sculpte selon les conditions de route et de la vitesse de la voiture : parking, ville, campagne, autoroute et pluie.
Le DS PARK PILOT : quand la voiture se gare ou quitte seule un endroit de parking.
Le DS NIGHT VISION : sans doute le système le plus bluffant, car il permet de voir de nuit… l’invisible. Via une caméra infrarouge, ce système détecte tout objet, personne ou animal se trouvant jusqu’à 100 m au-delà de la voiture. L’obstacle est alors signalé sur le pare-brise face aux yeux du conducteur.
Le DS DRIVER ATTENTION MONITORING : manière de détecter toute forme de distraction ou de somnolence, et le cas échéant d’alerter le conducteur.
Tout cela sans oublier tout ce qui touche à la connectivité avec l’extérieur et le monde du multimédia.
Testée avec le 2.0 l BlueHDi 180 ch doté d’une boîte auto à 8 rapports, un moteur d’une belle onctuosité, cette DS 7 Crossback, au châssis abouti et à la direction d’une grande précision, a fait preuve d’un comportement sans faille tout en se montrant d’une étonnante agilité dans les enchaînements de virages sur notre île.
Incontestablement, pour les dévoreurs de bitume qui entendent prendre une bouffée d’oxygène en prenant le volant d’un modèle premium qui n’est pas germanique, l’occasion est belle. D’autant que la Française fait preuve, au-delà de son art de vivre, d’une belle sobriété. Dommage qu’on devra attendre 2019 pour découvrir la version hybride à transmission intégrale de ce modèle équipé d’une technologie vraiment de pointe. Les prémices de la voiture autonome.
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Anthony bargoin : 0696 233 174
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Fiche technique : DS7 Crossback BlueHDI 180 ch Grand Chic
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Moteur : diesel 2.0 BlueHDI 180 ch
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Couple : 400 Nm
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Boite : auto à 8 rapports EAT8
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Accélération : 0-100 km/h en 9,9 secondes
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Vitesse max : 215 km/h
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Consommations réelles : 6.5 litres/100 km
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Réservoir : 62 litres
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Autonomie : 800 à 900 km
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Volume de coffre : 555 litres
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Poids 1535 kg
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10 CV
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À partir de 35 500 €
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Prix de la version essayée : 56 766.76 €